Claude Lévi-Strauss, l'Académie française. (Lévi-Strauss est l'un des « immortels » qui siègent à l'Académie française.)
Claude Lévi-Strauss, Ministère des Affaires Étrangères (France)
J. MacLean, Claude Lévi-Strauss and Jean-Jacques Rousseau
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p. 69, 2e para., l. 3 : ne fût-ce que pour = ne serait-ce que pour = even if [this is] only to...
p. 70, 3e para., l. 5 : qu'il se soit surtout adonné à [l'étude] de [...] lui-même. Allusion aux volumineux écrits autobiographiques et réflexions personnelles de Rousseau, notamment à ses Confessions (cf. p. 71, premier para., dernière ligne), aux Dialogues et aux Rêveries d'un promeneur solitaire.
p. 72, 2e para., l. 2 : Vicaire savoyard. Il s'agit de la Profession de foi du vicaire savoyard, dans L'Émile, livre IV (search for "vicaire"), l'exposé de Rousseau d'un christianisme « naturel », non-dogmatique.
2. C'est bien la fin du Cogito que Rousseau proclame (p. 73). Qu'est-ce qui justifie cette affirmation de Lévi-Strauss, et quelles en sont d'après lui les conséquences pour notre conception de l'homme ?
* 3. En quoi cet essai de Lévi-Strauss dépasse-t-il les limites suggérées par le titre (qui annonce un chapitre dans l'histoire des sciences) pour devenir l'affirmation d'une véritable philosophie de la vie humaine ? Quel est le principe fondamental de cette philosophie (p. 75-78) ?